Le poète trouve une nouvelle forme d'expression de la beauté dans son spleen. La beauté n'est pas toujours esthétique. Cet hymne est consacré à Jeanne Duval, une femme que Baudelaire a aimée. Mais la laideur n'est pas un spectacle gratuit car sa mise en scène peut révéler l'instabilité du monde et la vanité de la . « Je suis comme le roi d'un pays pluvieux » dans Spleen. La beauté et l'amour ne suffisent pas à la quête de l'idéal : le poète doit assumer sa part d'obscurité, aussi malheureux soit-il, pour trouver la Lumière… * * * _____ Au terme de ces deux premières parties, il apparaît que la poésie chez Baudelaire incarne une tension parfaitement résumée par les termes de spleen et d'déal. Les concepts de Spleen et Idéal chez Baudelaire - coursenvrac.fr Baudelaire : le précurseur de la modernité poétique Les Petites Vieilles de Baudelaire : analyse complète - Major-Prépa Elle peut être celle de la vieillesse, comme celle d'Hélène chez Ronsard, ou celle de la mort dans La Ballade des pendus de François Villon. Quelle image de la femme donne Baudelaire ? - MyStudies.com Ce thème n'a pas empêché Baudelaire d'en être inspiré : la laideur de la charogne est d'autant plus repoussante qu'elle s'oppose à la beauté de la femme. « Les Fleurs du mal », les principaux thèmes - Français - Lumni Cette remise en question de la beauté, de l'essence du beau, n'est t'elle pas une des formes d'une modernité précoce au cœur du 19èmesiècle ? info@rightit.co.uk. Et si le Mal est tout ce qui nous reste après la ruine de l'idéal et la chute des anges, alors c'est dans le Mal que le . Dans les poèmes « Le Balcon », « L'Aube spirituelle » ou « Harmonie du soir », Baudelaire évoque le souvenir de La Géante de Baudelaire - Major-Prépa Baudelaire et la Géante: de la laideur de la Nature à la beauté poétique Le Beau chez Baudelaire. L'élément particulier de chaque beauté vient des passions, et comme nous avons nos passions particulières, nous avons notre beauté.» [55] C. Le surnaturalisme . la laideur, qu'elle soit physique ou morale a inspiré de nombreux poètes a commencer par Baudelaire. Dans Un autre monde (1844), qui suscitait un sentiment de malaise chez Baudelaire lui-même, le caricaturiste français, note Rosenkranz, s'est laissé aller à des audaces navrantes : 53. Seul l'art, qui est une fin en soi, peut préserver à jamais la beauté, la rendant immortelle, éternelle et absolue. Rossignol de la boue."/ femme en décomposition chez Baudelaire, précision de la description de la putréfaction choque par sa crudité: "Brûlante et suant les poisons/Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique/Son ventre plein d'exhalaisons.": on chante traditionnellement la femme aimée, sa beauté!. A l'époque la morale religieuse condanme ces pensées très controversées.